A peine les yeux ouverts
Blessé par la lumière du jour
J'ai un gout amer
Le souvenir de leurs rires autour.
Ils étaient ma raison.. ( ma raison d'être),
mon air et ma chanson
A terre, dans ma pénombre,
J'ai égaré ma dignité mon nom
Comme abandonné mes rêves à mes démons.
Rends moi ma vie
Rends moi mes saisons mes nuits
Si tu m'oublies et j'nai pas su
Je n'suis plus
Que l'ombre d'un père,
l'ombre d'un homme
Seul avec ce verre qui m'emprisonne, me pardonne
Je noie mes prières, emportées sans repères
Comme une bouteille a la mer
Déchiré par les mots laissés au creux de nos silences
J'avais tant de choses à vous dire
A offrir un sens, à notre avenir
Avant de fuir mes chances
Je t'en supplie
Regarde on était si bien
Comme à l'abri de leurs chagrins quotidiens
Non rien n'est fini
Sans toi je me sens perdu
Si tu t'enfuis, si j'ai trop bu, je n'suis plus
Que l'ombre d'un père,
l'ombre d'un homme
Seul avec ce verre qui m'emprisonne, me pardonne
Je noie mes prières, emporté sans repères
Comme une bouteille à la mer (x2)
Mmm on était si bien yeahhh ... Ooooh
Que l'ombre d'un père,
l'ombre d'un homme
Seul avec ce verre qui m'emprisonne, me pardonne
Je noie mes prières, emporté sans repères
Comme une bouteille a la mer (x2)
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Con los
ojos bien abiertos,
Heridos por la luz del día
Tengo un sabor amargo,
El recuerdo de sus risas alrededor.
Ellos fueron mi razón (mi razón de ser),
Mi aire y mi canción,
Abatido en el suelo, en mi penumbra
He perdido mi dignidad, mi nombre,
Y abandonado mis sueños a mis demonios
Devuélveme mi vida
Dame mis estaciones, mis noches
Si me olvidas, yo no podría,
Dejaría de
existir
Ahora soy la sombra de un padre,
la sombra de un hombre,
A solas con este vaso, que me aprisiona, que me perdona
Ahogo mis plegarias, arrastradas y desorientadas,
Como una botella en el mar
Desterrado por las palabras que quedaron en el pozo de nuestros silencios,
Tenía tanto que decirte,
Planes que daban sentido a nuestro futuro
Antes de huir de mis posibilidades
Te lo ruego,
Mira, se nos veía tan bién,
Como al abrigo de las penas cotidianas
No, nada ha terminado,
Sin ti me siento perdido,
Si huyes, si he bebido demasiado, ya no existiré más
Ahora soy la sombra de un padre,
la sombra de un hombre,
A solas con este vaso, que me aprisiona, que me perdona
Ahogo mis plegarias, arrastradas y desorientadas,
Como una botella en el mar (x2)
Mmm se nos veía tan bién yeahhh ... Ooooh
Ahora soy la sombra de un padre,
la sombra de un hombre,
A solas con este vaso, que me aprisiona, que me perdona
Ahogo mis plegarias, arrastradas y desorientadas,
Como una botella en el mar
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